Sujet: [LoH #8] Jon Moxley vs. Joey Bryan Dim 7 Mar - 16:22
Dimanche. 9:00 PM. Madison Squae Garden, New York.
Une soirée de boxe comme une autre. Les combats se déroulent, le sang coule, et la foule acclame ces combattants qui se tuent les uns après les autres entre ces cordes. La foule attend tout particulièrement un homme ce soir, un combattant. Jon Moxley, le retour du roi.
RETURN OF KING MOXLEY. LoH #8 Singles Match.
Passons les entrées, les acclamations, les musiques, l'heure de la bagarre. Cette soirée, Jon affrontait un homme détesté, - un putain de prédateur sexuel -. Ecoutons alors ses pensées, soyons Jon Moxley, soyez Jon Moxley.
JON BALBOA. › Ils m'attendaient. Ils attendaient que je revienne depuis ces semaines, que Papa revienne garder les gosses. J'attendais un grand homme, j'attendais quelqu'un de fort, le haut du panier. Je voulais un combattant, et pas un violeur malheureusement. Je ne perdrais pas contre toi, je m'interdis cet échec, il est hors de question qu'un mec aussi crade, aussi dégueulasse que toi le soit. Joey Bryan ou Joey Ryan. J'en ai rien à foutre, tu n'es que la réplique d'un Fiend encore plus mal dissimulé, vieille merde.
JON BALBOA. › Jouer le rôle d'acteur dans ce monde, c'est useless. Jouer un rôle d'acteur ne te sauvera pas lorsqu'il s'agit de se battre, ton rôle d'acteur ne peut te sauver de la raclée que je suis en train de te foutre. Mais il est encore plus ironique que lorsque ton rôle d'acteur soit en réalité ce que tu es réellement, toucher les couilles des mecs n'est pas un problème. Mais que tu touches une meuf pendant qu'elle te rend un putain de service en conduisant pour toi, c'est crade sale clochard.
Jon 'Balboa' Moxley envoie alors un uppercut qui sèche directement Joey Bryan.
JON BALBOA. › La vérité est qu'ici est ta dernière chance d'espérer être bon un jour dans ta vie, le clochard. La seule et unique occasion que tu pourras avoir, car la seule vérité est que tu es reconnu et ici uniquement, car ta réputation à fait de toi quelqu'un de différent, ton rôle à fait de toi quelqu'un de divertissant, si seulement cela n'était qu'un rôle et que ce n'était pas si malaisant et malsain. Mais tu n'as jamais été sur un seul point à ma cheville pendant ta carrière, tu n'as jamais su prouver que tu étais un bon lutteur, tu as prouvés juste que tu étais un bon clown, un bon comédien, bon à faire les ouvertures de shows pendant qu'ici, je devrais être le champion, et ce n'est qu'une question de temps. Mais tu n'as jamais été sur un seul point à ma cheville pendant ta carrière, tu n'as jamais su prouver que tu étais un bon lutteur, tu as prouvés juste que tu étais un bon clown, un bon comédien, bon à faire les ouvertures de shows pendant qu'ici, je devrais être le champion, et ce n'est qu'une question de temps. Qu'une énième fois, tu te fasses virer, qu'une énième fois, on se rend compte que tu n'as rien à faire ici. Ici est ton dernier recueil, je vais m'occuper de t'enterrer de mes propres mains sur ce ring, gros dégueulasse.
Balboa augmente alors rapidement son rythme et enchaine les esquives et les coups à une vitesse peu commune.
JON BALBOA. › Tout le monde ici est caractérisé d'une manière ou d'une autre, d'adjectifs ou d'autres. Hello Kitty est par exemple caractérisé par son grand cœur notamment, sauf que toi, tu la baiserais. Tu vois la nuance ? Celle où tu n'es qu'un putain de prédateur sexuel poursuivi par la justice et dont la prison tend les bras, un lutteur qui se retrouve à la Legacy of Wrestling, car c'est le seul endroit où ils ont eu la malédiction de t'accepter et le malheur pour toi de te foutre dans ce ring face à moi. Je suis le roi de ce ring, je suis le meilleur combattant en activité dans ce putain de business. I'M THE BEST FIGHTER OF LOW.
Jon Balboa vient une énième fois de surprendre son monde avec cet évènement surréaliste.
JON BALBOA. › Tu vois ? Cela n'est que la continuité de ta vie, humiliation après humiliation, défaites après défaites pendant que j'enchaîne les victoires, pendant que j'ai éclipsé l'ombre que j'étais à la Pro Wrestling Legacy, j'ai su effacer mon image, redorer mon blason. Mais toi, cette image crade et de défaitiste que tu portes, tu la traînes depuis des années et tu la traîneras toute ta vie. Je suis meilleur que toi, je suis meilleur que tous les gars de ce business et cette humiliation n'est qu'un lingot supplémentaire que je viens ajouter à ma statue d'or.
JON BALBOA. › Mais ça, tu ne le comprendras pas, ils ne le comprendront pas. Car il faut leur laisser du temps, mais le tiens est terminée.
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JON BALBOA. › SURPRISE SURPRISE MOTHAFUCKA', THE KING IS BACK.
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Dim 7 Mar - 16:22
